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Oui et non
J'apprends tous les jours . Ce matin par exemple , j'ai appris que toutes les secondes j'avalais 3333 virus. Et il y en a UN pour lequel je dois faire très attention. D'où ma question , comment faire pour le reconnaître .
Pour le reste , je vais me taire , ce n'est pas le débat.
Bien évidemment, reconnaît le vétérinaire, on n'est pas sûrs à 100 % du résultat ». En effet, rien ne garantit que le Covid-19 génère des molécules spécifiques dans la sueur. Et si d'autres expériences sont en cours, elles n'ont pas donné lieu à des publications qui fassent autorité. « On est dans le domaine de l'expérimental
Et parmi ceux détectés par lui, il y en a qui sont plus ou moins infectieux.
Ceci dit, si dans un endroit (ville, département,..), il n'y a pas eu de nouveaux cas déclarés depuis plusieurs jours, on peut être n´beaucoup moins inquiet. La paranoia n'est peut-être pas non plus la meilleure attitude, car elle rend malade, mentalement cette fois-ci...
C'est ça mon problème. C'est de faire comprendre à des gens que ce n'est pas le seul virus " dans l'air" . Je me rends compte que la majorité des gens ne savent même pas qu'ils vivent en permanence avec DES virus , des microbes et des bactéries.
D'où l'objet de mes recherches.
C'est comme dans l'eau de mer , c'est atroce ce qu'il peut y avoir dans une cuillère à café d'eau de mer.
Quand " certains" scientifiques sur les plateaux de TV lancent des conneries. ben oui , ça atteint les cerveaux de certains.
J'espère que la connerie humaine n'est pas contagieuse ELLE. si non, nous sommes mal barrés.
Covid-19 - Enfin de la pédagogie de bon niveau venant de l'IHU de Marseille
Je n'avais rien à rajouter sur mes derniers messages avec mes questionnements sur la bi-thérapie AZ + HCQ. J'attends toujours des réponses.
Depuis, les polémiques stériles ont continué et il y a eu des bouleversements remarquables, que je n'ai pas voulu commenter, car largement traité partout.
Voilà enfin qu'à l'IHU de Marseille, on commence à s'occuper de la pédagogie, avec notamment cette vidéo du témoignage du Pr Philippe Parola, directeur de service de soins et d'unité de recherche à l'IHU. C'est un des membres clés de l'entourage du Prof. Raoult et clairement apte à transmettre son savoir devant une caméra. C'est une vidéo de communication suivant un scénario, avec un interlocuteur bien préparé et à mes yeux très bon pédagogue.
Puis, il y a le même type de vidéo avec le témoignage du Pr Michel Drancourt, directeur adjoint de l'IHU Méditerranée Infection, qui explique dans des termes très clairs ce qu'est un IHU et en particulier, celui de Marseille.
J'ai trouvé très impressionnant le témoignage du Pr Pierre-Edouard Fournier, directeur du laboratoire de tests diagnostiques à l'IHU, qui nous explique comment son équipe, avec l'aide de plusieurs personnes importantes et d'institutions locales a réussi l'exploit d'organiser les dépistages de SARS-CoV-2 dans des circonstances de guerre. Ils ont en effet testé à eux seuls 3 % de la population Marseillaise ou env. 130.000 tests !
Un autre témoignage sur BMFTV du Dr. Hervé Tissot-Dupont, responsable du dépistage de l'IHU et de nouveau le Prof. Fournier.
Vers la fin, on entend Yannis Roussel, le chargé de communication de l'IHU. J'epère qu'il continuera dans cette voie d'une communication pas seulement concentré sur le Prof. Raoult, mais laissant également la parole à ceux assurant le fonctionnement de cette institution désormais fameuse en France et au delà. Mais il ne faut pas oublier non plus, que le Prof. Raoult est le fondateur et le directeur de cet IHU exceptionnel, et qu'il a réussi à obtenir des sommes énormes et de s'entourer de collaborateurs de très haut niveau.
Quant à la question sur le bénéfice de la bi-thérapie pour les personnes à risque, je garde espoir d'obtenir des éléments de réponses dans les semaines ou mois à venir. De toute façon, le pire semble être passé jusqu'à au moins l'hiver prochain, et on peut respirer de nouveau un peu...
Les revues scientifiques "The Lancet" et "New England Journal of Medicine" ont retiré deux études basées sur des données fournies par la société américaine Surgisphere, qui ont fini sous les feux de la rampe du "Guardian" qui a mis en doute leur fiabilité. L'un des deux articles, celui publié par Lancet, a tiré la sonnette d'alarme sur les risques sérieux associés à l'utilisation de l'hydroxychloroquine, un médicament antipaludique, contre le Covid-19.
La meilleure pour moi de RAOULT , c'est quand il demande à deux journalistes de BFMTV de se taire. Normal non ? Elles font les questions ET les réponses en même temps. Non mais quoi , la politesse alors ?
....et comme, hélas, il y a de tout monde....et de tous caractères....
dans cette belle communauté scientifique....on n'en a pas fini de tourner en rond.....!
Je ne veux pas être aussi cru, mais le soupçon est là.
Mais je me demande s'il n'existe pas un comité scientifique qui puisse "punir" les comportements frauduleux ?
Ne devrait-il pas y avoir une éthique scientifique qui empêche la manipulation des données ?
S'il existe des protocoles scientifiques, pourquoi ne pas les suivre ?
.....Quels participants et la confiance à leur accorder..?,.
.....et puis, désignés par qui, et sous quelle influence aussi seront placés ceux qui désigneront....
.....Pourquoi une idée de la sorte, alors que l'on sait pertinemment que rien de sûr ne peut y être accouché.....!
....A part du baratin repris par des Journaleux en mal de copie......
....ou fiers de foutre la pagaille.....!!!
La plupart des fois, cela se passe correctement, car il y a deux ou trois experts désignés à partir d'une liste. Un Éditeur associé s'en occupe et coordonne le processus. J'y ai participé maintes fois comme auteur et expert.
Dans des périodes de crise, les éditions veulent aller vite, car ils sont intéressés par le sacro-saint facteur d'impacte de leur revue. Si en plus, les auteurs sont très connus et influents, il peuvent se passer des choses très limites, comme cela a été le cas ici.
Ce n'est pour autant pas une raison pour mettre toute la production scientifique sur la sellette. En fait, il est normal que ce que l'on pense être vrai aujourd'hui, ne le sera plus dans un temps x. Du moment que le travail a été fait selon l'état de l'art, et que les conclusions sont soutenues pas les données, le travail est valable.
...Il n'est pas question de mettre TOUTE la production sur la sellette, ni de dire
que tous les fruits sont pourris. Là comme ailleurs le fric et l'orgueil cachent la vérité....!