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Le procédé Haber-Bosch, qui produit de l'ammoniac par réaction d'azote et d'hydrogène gazeux en présence d'un catalyseur à base de fer à haute pression et à haute température , est utilisé pour générer de l'ammoniac dans des environnements industriels. Cette méthode à forte consommation d'énergie doit gérer soigneusement les conditions de réaction pour obtenir le meilleur rendement. (source Ekwateur)Toyota ne s'allie pas seulement à Suzuki, mais aussi à BMW et à la société chinoise GAC.
"Toyota est bien conscient que, de nos jours, il est bon de poursuivre les collaborations, d'échanger des idées et aussi de réduire les coûts. Si, pour l'hydrogène, il existe un partenariat avec BMW, pour l'ammoniac, le lien est établi avec le groupe chinois GAC, le Guangzhou Automobile Group.
L'objectif est donc de créer un moteur 4 cylindres de 2000 cm3 fonctionnant à l'ammoniac. Le problème est que l'ammoniac est hautement inflammable, mais les deux entreprises ont trouvé un moyen de le rendre parfaitement utilisable, en créant un mélange avec de l'essence, cette dernière ne dépassant toutefois pas 20 %.
Il s'agit d'un carburant qui permet non seulement d'économiser beaucoup d'argent, étant donné sa compatibilité avec les moteurs actuels, mais qui est également très respectueux de l'environnement. Les chiffres montrent que, par rapport à la variante thermique standard, ce moteur est capable d'émettre 90 % de CO2 en moins . Des chiffres impressionnants, Toyota démontrant, avec la Chine, qu'elle souhaite envisager un avenir aussi diversifié que possible et ne pas s'arrêter au concept de l'électrique ou de l'hydrogène."
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C'est certainement comme tu l'écris, je ne connais pas le processus, mais je constate que même les groupes chinois travaillent sur plusieurs « fronts » (électrique et thermique).Cette méthode à forte consommation d'énergie doit gérer soigneusement les conditions de réaction pour obtenir le meilleur rendement. (source Ekwateur)