Le bal mortel des particules fines

Mon résumé

Le jardinier, Vu dans ton lien: http://www.afsset.fr/upload/bibliotheque/472567222292592431356781428635/impact_sanitaire.pdf:
Le public a des attentes en matière d'information sur la qualité de son environnement, de plus en plus perçu comme pouvant avoir une influence sur sa santé. Cette attention croissante et légitime n'a pas la même intensité selon le type de pollution considéré. Le regard porté par le public sur l'acuité d'un problème peut également être différent de celui des professionnels de santé (individuelle ou publique), qui doivent cependant en tenir compte et apporter des éléments de réponses aux questions de la population. Ce qui motive la mobilisation des populations concernées reste à ce jour peu clair. Il semble néanmoins qu’elle est sous-tendue par la possibilité d’ouvrir une demande de réparation au plan judiciaire, et implique donc une définition d’éventuelles responsabilités (cf. les crises sanitaires nationales récentes). Il s’agit d’une demande sociale forte et croissante au cours de la dernière décennie et rien ne permet de prévoir que ce mouvement va décliner. Elle se traduit souvent sous la forme d’une demande d’étude épidémiologique ou d’EQRS.(fin du CR)

Il est quand même fort de résumé la demande de la population (ou l'intèret qu'il porte à son environnement ) à une histoire de gros sous:evil:

Donc pour résumé,à part cette page60, et la page 64, pas grand chose sur les causes à effets, beaucoup d'explications pour les modes de calculs ,quelques notes sur les effets du radon,ou bien d'une UIOM,et voila le résumé que j'en fait:jap:
 
Dernière édition:
Sans aucune prétention scientifique n'en n'ayant pas les capacités, je laisse cela aux spécialistes, mais en caricaturant :

NO2 = particules = diesel = maladie

Mais encore faut-il oser remettre en cause ce qui "nourrit" une bonne part de la population (ouvrier, vendeur, accessoiriste) qui ne prêche que pour le gasoil; remettre en cause la politique de fabrication et l'évolution des 3 marques nationales, remettre en cause la politique de vente de "grandes" marques qui pensent être au sommet de la recherche avec moultes CDI, TDI, HDI, tDCI, CDVi, Crdi, (les marques se reconnaîtront avec leur sigle) ...... mais qui ne cessent de simplement nous polluer les poumons... Toute pollution est DANGEREUSE mais autant le CO2 est responsable du gaz à effet de serre avec des conséquences à "relativement" long terme, lentes mais néanmoins dangereuses, autant le NO2 du diesel est reconnu par certaine sommité médicale comme responsable des problèmes pulmonaires, infectieux, voire responsable de maladies cardio-vasculaires chez les personnes sensibles (plus âgées ou simplement en état de faiblesse) et là, c'est TOUT DE SUITE, MAINTENANT, DANS L'IMMEDIAT....

Alors faire attention à notre air et notre planète pour les générations futures, d'accord; mais il est aussi tout important de penser à AUJOURD'HUI pour les ENFANTS...

Petite remarque : autour de moi, lorsque je parle voiture (ce qui arrive TRES souvent :grin: ), je constate que les seuls qui sont d'accord et qui se sentent prêts à faire des efforts (et peut-être rouler en Prius ou utiliser les transports en commun) sont ceux qui ... N'ONT PAS D'ENFANTS :evil: :evil: :evil: .
Ceux qui ont des enfants estiment en faire assez puisqu'ils roulent diesel et consomment très peu, que, eux, ont acheté une seule voiture pour transporter tout le monde (monospace 7 places) mais ils oublient que, une fois déposés à l'école, ils se retrouvent seuls pour aller au boulot...

Il y a encore beaucoup de travail .......
J'avoue que j'aimerais bien avoir une copie du film d'Al Gore (que beaucoup autour de moi ont REFUSE d'aller voir.... sans doute la peur face à la réalité, c'est plus facile de se voiler la face) pour faire de temps à autre une projection devant certains....

Bon j'arrête et je vais prendre un bol d'air maintenant que les embouteillages du matin sont terminés :-? :grin: :cool: .
 
:papy: ......et oui, parmis nous, beaucoup d'autruches qui se mettent la tête dans le sable égoïsmo-inconscient....et qui ne se rendent pas compte, qu'en plus, on leur plume le c.. !:moqueur: ........:cheveux: oui, je sais, il n'y a pas de quoi rire !........Hélas !
 
sorry

attention , ce qui sort des diesels , le NO2 fait nettement moins rire que le N2O , en effet le protoxyde d'azote est également appelé gaz hilarant détail ici : http://fr.wikipedia.org/wiki/Protoxyde_d'azote

vous l'avez compris, les médecins de terrain dont je fais partie sont nuls sur la question (et roulent tous en diesel...) faute de formation initiale ou post universitaire sur le sujet.

Parrallèlement à cela, les dernières pubs sur les "primes écolos" pour acheter du diesel français me donnent froid dans le dos:mur:
 
Bonjour.
Je rejoins un peu Blackdress dans le sens où tout devient prétexte à l'inaction "parce qu'on est pas sûr à 100%". C'était ce discours là il y a 15 ans sur le réchauffement climatique...

Le problème, on le rencontre avec toute sorte de pollution... On a cité l'amiante, le tabac, il y a aussi le téléphone portable, le wifi, les lignes à hautes tension (EDF nie toujours) et bien sûr le plomb du super, et les particules et les NOx du gasoil...mais il y a aussi les additifs chimiques dans le secteur alimentaire, ou dans les peintures, l'ameublement, etc... (faites une recherche sur les formaldéhydes)
Forcément, l'effet sur l'organisme n'est pas immédiat. On parle là de maladies qui prennent des années à se déclarer, et dont l'origine peut-être multiple. La rigueur scientifique imposerait un protocole de tests pour chaque cause possible, sur la durée nécessaire au développement de la maladie. Ensuite, il faudrait tester toutes les combinatoires possibles... Et même si l'on avait le temps/les moyens de réaliser ces tests sur des animaux, certains trouveraient le moyen de dire que ces tests ne prouvent rien, car les animaux de laboratoires ne sont pas des Hommes... Forcément.
En réalité, les tests sont bien réalisés...En grandeur nature, et nous sommes les cobayes. La différence, c'est que ces "tests" ne sont pas réalisés par des scientifiques, avec une démarche précise, mais par des industriels et des commerciaux. Le but n'est pas d'étudier l'effet (quel qu'il soit) sur la population, mais de vendre. Et tant pis pour ceux qui ne résistent pas: c'est ce qu'on appelle la "sélection naturelle".
Je ne suis pas contre le progrès, au contraire. Je suis contre le lavage de cerveau que l'on nous fait depuis trop longtemps. Combien de gens auxquels on pose des questions sur la nocivité d'une substance ont comme réponse presque instinctive le fameux "si c'était dangereux, ça ne serait pas commercialisé"? Faites le test autour de vous. Même après Tchernobyl on nous vend encore le nucléaire comme une énergie renouvelable...

Alors oui, le jour où l'on prend conscience de la dangerosité de tout ceci, on a tendance à amplifier et à devenir parano sans doute. C'est une réaction humaine normale, qui pourrait se généraliser à l'ensemble de la population "éveillée" si les industriels ou les gouvernements ne nous distillaient pas régulièrement du "principe de précaution dans la constitution" et des "primes écolo"... Souvenez-vous le crieur au moyen-age "dormez braves gens, tou est tranquille"... Il faut endormir et rassurer la population, c'est une question de survie. L'éduquer serait trop dangereux.

Voilà, certains diront que c'est un regard alarmiste, pessimiste... D'autres diront que c'est réaliste. Peu importe, l'important c'est de ne pas se résigner, et d'éduquer les gens autour de nous. Il faut donner envie aux citoyens de chercher par eux-mêmes, de s'intéresser à ces problèmes, de ne plus croire sans réfléchir, de se faire leur propre opinion. L'accès à l'information n'a jamais été aussi simple qu'aujourd'hui.

La suite dans la trilogie "Matrix" :cool:

A+
Curzon
 
J'aimerais faire un petit point dans ce débat passionné (y compris de mon côté il est vrai, puisque je me sens touché directement).

D'abord nombre de proches constatent comme moi tousser, avoir les yeux rouges, des crises de bronchite ou sinusite etc. lors des périodes de forte pollution, et cjez les enfants les bronchiolites et autres affections respiratoires sont devenues légion. Ce n'est donc pas virtuel, et il ne faut pas seulement s'attarder sur les effets les plus graves (mortels) dont on pense toujours qu'il n'arrivent qu'aux autres.

Plutôt que de m'attarder sur des querelles sémantiques stériles (typiquement "intégrisme" vs "négationisme"), je préfère cependant revenir aux faits bruts, chacun jugera tranquillement en son âme et conscience.

Ensuite, s'agissant de la multiplicité des facteurs : c'est parfaitement exact, cependant ils se résument à un phénomène : la pollution de l'air (par les NOx, le CO, l'O3 et le soufre - les HC ne sont pas cités), épinglée à nouveau sévèrement dans Que Choisir 446 - mars 2007 page 8 "Pollution - Nuit à la Santé" qui reprend une étude du New England Medical Journal du mois de février portant sur 66000 femmes citadines, et concluant que "chaque hausse de 10 microgramme par m3 de ces particules polluantes provoque une augmentation de 24 % du risque d'accident vasculaire cérébral, et 76 % du risque de décés par maladie cardio-vasculaire".

Or les taux de monoxyde de carbone et de dioxyde de soufre ont drastiquement baissé ces dernières années avec les pots catalytiques et la diminution progressive du taux de soufre dans les carburants - qui sera achevée en France après tout le monde en 2009), il reste comme polluants principaux les NOx, les particules fines, l'ozone et les HC.

A propos des NOx, ceux-ci ne se confondent pas avec les particules, c'est un gaz irritant ET précurseur d'ozone en cas de rayonnement solaire (double effet toxique donc).

Bien évidemment, j'admets volontiers que le secteur des transports n'est pas le seul en cause dans l'émission de ces polluants.

Le site Moteur Nature s'en est d'ailleurs fait l'écho ICI en citant une étude plutôt optimiste du Citepa, organisme toutefois sujet à caution de par sa filiation industrielle...

Néanmoins force est d'admettre que les émissions des véhicules le sont à proximité directe des personnes, piétons ou habitations, et que dès lors elles ont un rôle important et constituent une variable sur laquelle il faudrait essayer d'agir de façon plus efficace.

Pour revenir au sujet, et donc aux particules fines, parmi les liens synthétiques utiles, à lire aussi celui-ci (cité des sciences) reprenant à son compte deux études majeures dont une de l'Affse.

Extrait :

POLLUTION ATMOSPHÉRIQUE :
combien de morts évitables ?



L'automobile fait peut-être plus de victimes par ses pots d'échappement que par les accidents qu’elle cause. Un rapport européen du programme APHEIS publié le 6 septembre indique qu’une réduction de l’émission de particules permettrait d’éviter plusieurs dizaines de milliers de décès par an.

Les résultats d’une étude sur l’impact sanitaire de la pollution atmosphérique menée dans 26 grandes villes européennes dont 9 françaises, dans le cadre du programme APHEIS (Air Pollution and Health European Information System) ont été rendus public le 6 septembre dernier. Ce rapport indique qu’une réduction de la quantité de particules d’un diamètre inférieur à 10 microns (PM10) à la valeur limite prévue pour 2010 (20 microgrammes par mètre cube) permettrait d’éviter à long terme 21828 décès par an dans les 26 villes de l’étude.

Déjà au mois de juin, un rapport de l'AFFSE (agence française de sécurité sanitaire environnementale) présentait l’impact de la pollution atmosphérique urbaine sur la santé humaine. Selon ce rapport, l’émission de particules fines (moins de 2,5 microns de diamètre) pourrait être responsable d’environ 9500 décès en 2002 en France parmi les personnes de plus de 30 ans. Ce chiffre ne concerne que les décès liés aux maladies cardio-pulmonaires et au cancer du poumon.



Voilà, encore une fois que faut-il de plus aux sceptiques pour être convaincu ???

Pour info, ces dernières données sont connues et publiques depuis déjà 2 ou 3 ans...
 
...Je souhaiterait une réponse à cette question: les NOX sont-ils aussi des gaz à effet de serre? Et surtout, si oui, combien de fois plus (ou moins) que le CO2? (Par exemple, certains gaz réfrigérants sont plus de 1000 fois "reponsables" de l'effet de serre.)...

Un élément en complément de la réponse de Blackdress pour répondre à ta question.

Les oxydes d'azote comprennent le monodyde d'azote (NO), le dioxyde ou le peroxyde d'azote (NO2) et le tétraoxyde d'azote (N2O4). J'ai trouvé une fiche toxycologique à cette adresse :
http://www.ineris.fr/index.php?module=doc&action=getFile&id=2349

Il existe un gaz que l'on peut confondre avec les NOx et qui a un très grand pouvoir d'effet de serre. C'est le protoxyde d'azode (formule : N2O qu'on peut confondre avec le peroxyde). Son pouvoir d'effet de serre est 296 fois supérieur à celui du CO2 et il représente sur terre 5% de l'effet de serre artificiel. Mais ce n'est pas un produit de combustion des moteurs thermiques. C'est le gaz hilarant que l'on utilise en anesthésie ! :rigolade: :evanoui:

Blackdress à dit:
...Le site Moteur Nature s'en est d'ailleurs fait l'écho ICI en citant une étude plutôt optimiste du Citepa, organisme toutefois sujet à caution de par sa filiation industrielle...

Merci Blackdress ! :jap: Enfin un article intéressant de Moteur Nature (un aperçu historique est toujours très enrichissant !). En admettant que les chiffres de l'étude soient bons, il est intéressant de faire le lien avec l'évolution des deux paramètre essentiels qui jouent dans la pollution dûe au transports de nos agglomérations :

- la pollution des véhicules pris individuellement : leur niveau de pollution est étroitement lié à l'évolution des normes Euro. Rappelons les dates : Euro 1 en 1992, Euro 2 en 1997, Euro 3 en 2000, Euro 4 en 2005. Il est intéressant de rappeler que pour le total HC + NOx, la norme a été la même pour les essences et les diesel jusqu'à Euro 1 inclus. Le décrochage instituant une valeur plus laxiste pour les diesels commence à Euro 2. Avec le recul, il serait intéressant de savoir pourquoi...:eek:

- le nombre de véhicules circulant : à cet effet, voici la dernière enquête globale de transports sur les déplacements des franciliens (la RP étant la plus grande agglomération en France) : http://www.ile-de-france.equipement.gouv.fr/article.php3?id_article=100
C'est tout à fait instructif, car il y a un historique remontant jusqu'à 1976. On peut rappeler que même si ils existaient depuis longtemps, la mise en avant des problèmes de pollution des grandes agglomérations a eu lieu lors de l'arrivée de la majorité plurielle en 1997 (niveau de pollution et contre-mesures afférentes) . Je me souviens d'ailleurs que la première interdiction de circulation alternative en fonction du numéro d'immatriculation a eu lieu à Paris en septembre 1997. Bref, ça fait 10 ans que le citoyen connait ce problème de santé publique. Est-ce que ça a changé drastiquement ses comportements ?

Puisqu'il est mentionné plus haut la nécessité d'action, ces éléments peuvent donner des pistes pour l'action politique et individuelle...
:coucou:
 
Pour poursuivre et nourrir le débat d'éléments d'analyses concrets, je vous propose de lire un récent rapport parlementaire consacré à un premier bilan de l'application de la loi sur l'air (LAURE) votée à l'initiative de C. Lepage, et qui a désormais 10 ans.

S'agissant des particules fines, lire notamment page 25 et 28.

Et la conclusion page 111.

On pourra lire aussi utilement ce commentaire.
 
Merci pour ce lien Blackdress !:jap:

J'ai parcouru rapidement ce rapport très instructif (comme en général nombre de rapports gouvernementaux). Très riche d'un point de vue chiffres et informations objectives, certaines des mesures qu'il propose à la fin sont intéressantes et courageuses, même si il manque à mon avis l'alignement de la fiscalité du diesel sur l'essence (sujet tabou ?).:-?

Pas trop le temps de le commenter plus en détail à l'instant mais je conseille au forumeurs d'y jeter un oeil.
 
Pour ceux qui n'auraient pas vu l'émission de Canal + sur la pollution dûe aux particules, elle est disponible sur dailymotion:

(coupée en 4 morceaux !)

A visionner d'urgence

http://www.dailymotion.com/related/4048134/video/x2eqiz_particulesseul1/1
http://www.dailymotion.com/related/4046795/video/x2erk6_particulesseul2/1
http://www.dailymotion.com/related/4046795/video/x2erx6_particulesseul3/1
http://www.dailymotion.com/related/4048602/video/x2es4x_particulesseul4/1

(Merci à DoubleHybride pour l'info !)
 
Merci pour le lien !

Pour les Mac user (comme moi), utilisez TubeTV pour sauver ces videos et les convertir à la volée en postcast à regarder sur son Ipod (video)...

Alexandre.
 
Et pour les windows users, t'as un tuyau ?
 
Institut Français de Veille Sanitaire

L'INVS, qui est l'Institut Français de Veille Sanitaire commence sérieusement à s'intéresser aux particules fines et à la santé.

Il y a plein d'infos sur leur site

Je vous conseille la lecture de leur dernier numéro Extrapol N°33 de décembre 2007:
:arrow: Thème : Pollution atmosphérique : particules ultrafines et santé

le sommaire est éloquent !!!

:arrow: Il est téléchargeable ICI

couv.gif



Sur les effets sanitaires des particules ultrafines, il y a également leurs éditions précédentes :
- Pollution atmosphérique particulaire, repolarisation ventriculaire, inflammation et coagulation : l’étude d’Erfurt. Extrapol n° 32.
- Pollution particulaire, pression artérielle, rythme cardiaque et contrôle de l’autonomie cardiaque : l’étude multicentrique ULTRA. Extrapol n° 32.
 
Fin 2007, nous avons connu deux bonnes semaines d'alerte rouge aux particules dans certaines vallées... le chauffage (fioul et bois) y est certes pour beaucoup, ainsi que les usines avoisinantes, mais la diésélisation n'y est sans doute pas étrangère non plus...
 
Voici un lien vers un document suisse qui parle de nanoparticules et de filtres :

http://labs.hti.bfh.ch/uploads/media/Feinstaub_NP_F_v4.pdf

Il y a un passage interessant sur peugeot:
Pour la voiture de tourisme, la technologie Peugeot a provoqué de fortes discussions entre l’industrie automobile allemande et le gouvernement, ce qui a mené à des promotions de filtres au moyen d’avantages fiscaux. Mais on a évité la discussion au sujet des nanoparticules, classées comme composants non-limités. Par conséquent, les critères pour profiter des avantages fiscaux se sont rapportés à la masse des particules filtrées et, d’une façon quelque peu lâche, on ne s’est pas préoccupé de la qualité des filtres à particules. Il en a résulté l’instigation d’un marché de filtres additionnel pour voitures de tourismes avec des soi-disant catalysateurs à particules qui ne sont pas des filtres à particules, mais qui, pour des raisons de marketing, sont souvent illégalement designés comme tels.
 
oui, sachant qu'en plus le taux de voitures Diesel en France est beaucoup plus important qu'en Angleterre, je vous dis pas l'hécatombe. A Quand une étude sur la qualité de l'air + conséquences sur la santé, depuis l'explosion des Diesel en France ?
 
Le n° 33, comme par hasard ! :-D
 
Tiens, ils ont fait comme l'ADEME il y a quelques années. :-D
 
Moi j'ai choisi la Prius pour éviter le bal mortel des particules dans mon box en sous sol lors de mes manœuvres.
Néanmoins, il m'arrive de pester lorsque qu'un mazouteur met trop de temps à déguerpir du même sous-sol.
 
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