Le coin photovoltaïque du forum

Les strings sont prévus pour gérer de manière indépendante ce qui provient de tel ou tel groupe de panneaux.
Ça me rassure. C'est ce que je croyais avoir compris.
Aujourd'hui, je choisirais plutôt un onduleur hybride avec 3 strings dont un pour manager une batterie (charge quand excès de production et décharge en cas de besoin).
C'est bien le cas de l'onduleur dont je parle (PV1, PV2, BATTERY) :
Capture d'écran 2024-04-23 001029.png
Le référence du 6kW est SUN2000-6KTL-L1 (monophasé).
Pour la gestion avec Tempo, faut voir. Mais sur le principe, je peux limiter ma conso les jours rouges sans que ça soit un drame.
 
Et la batterie que j'envisage pour aller avec cet onduleur, c'est la LUNA2000.
Une nouvelle version sort actuellement :


C'est tout modulaire sans câblage et avec une garantie de 15 ans. C'était 10 ans jusque là.

@planétaire, la techno de cette batterie peut t'intéresser. Ils ont intégré dans le boitier une surveillance performante avec des systèmes pour limiter le risque de feu.
L'avantage d'une telle batterie sur des modules DIY et autres Pylontech, c'est que réglementairement on est pas obligé de la placer dans un coffret fermé pour la sécurité incendie. Le législateur considère que la batterie elle-même se trouve déjà dans un boitier fermé et il n'est pas nécessaire d'en remettre une couche.
 
Dernière édition:
Désolé, ma phrase a été ambigüe. Il fallait juste comprendre que 15 n'est pas divisible en deux nombres entiers égaux, et que donc ayant 3 rangées, la rangée du milieu sera à couper en deux, ce qui ne pose pas de problème de câblage particulier, sauf à voir ce qui sera judicieux vis à vis des ombres. On peut, dans cette rangée, avoir 3 panneaux d'un côté (ou de l'autre côté) ou bien 3 au centre et 1 de chaque côté.
Ce que je précisais ensuite, à savoir la plage de tensions dans tous les cas de figure (température) est le point essentiel.
Et oui les 2 mppt c'est justement pour gérer deux strings différents, aussi bien en orientation qu'en nombre, dit autrement en tensions différentes à un instant donné.

Par exemple, dans mon cas j'ai un string de 3 panneaux et un autre de 2; Mais, hasard, la tension est quasiment la même, les panneaux n'ayant pas le même nombre de cellules (je les gère quand même sur 2 mppt). Car en fait c'est le nombre de cellules en série qui compte, pour une techno, en général du silicium mono ou polycristallin. Et pour compliquer les 3 sont en fait plusieurs groupes de 3 en //, mais ça c'est possible avec du matériel comme victron, on y perd réellement à cause des courants plus élevés mais on gagne théoriquement en sécurité tension (et en prix chez victron).

Au sujet des panneaux je me demande l'intérêt qu'il y a à avoir des bifaciaux, si pose sur un toit. Biverre par contre ça je comprends.
Je n'ai pas fait de mesures, mais à mon avis même s'il y a 5 cm entre le panneau et le toit, derrière il n'y aura pas de production.
Maintenant peut-être que l'aspect finance intervient avant ou qu'il y aurait un vague lointain projet d'usage en carport ou autre pergola.

Au fait je présume que ton onduleur va être dans le garage et que seul le jus AC va circuler dans le sol ?
Et donc aussi la batterie. Qui a de toute façon intérêt à être éloignée d'un autre combustible, comme par exemple une cuve à fuel ou autre.

Merci pour les remarques au sujet des accus.

Ce sont des accus lfp.
Et bonne remarque sur le risque d'inondation, à voir si cela est possible chez toi. En général l'accu est près du sol.


A+
 
Dernière édition:
Ça me rassure. C'est ce que je croyais avoir compris.

C'est bien le cas de l'onduleur dont je parle (PV1, PV2, BATTERY) :
Regarde la pièce jointe 11103
Le référence du 6kW est SUN2000-6KTL-L1 (monophasé).
Pour la gestion avec Tempo, faut voir. Mais sur le principe, je peux limiter ma conso les jours rouges sans que ça soit un drame.
Le câblage est un peu bizarre, ils ont réuni les 2 strings avec un point commun, disons le pôle moins, du coup il y a 3 interrupteurs DC. J'aurai mis deux bipolaires pour ma part. Mais bon on n'y touche normalement jamais à ces bidules, c'est juste si intervention sur les panneaux en journée. La conséquence de leur choix est qu'un des 3 aura deux fois plus de courant que les autres. Ils en économisent un.

La batterie est à considérer comme étant câblée sur le bus DC commun aux 2 mppt juste en entrée du convertisseur DC->AC. A ne pas voir comme un 3ème mppt.
C'est malin mais du coup ce bus a la même tension que la batterie quand il y en a une. Elle varie donc en fonction du niveau de charge (Soc)
Par exemple une centaine de volts de delta.

A+
 
Ne pas confondre les charges dynamiques avec les charges statiques, ou même voir les charges " d'exploitation".
Le charges dynamiques et d'exploitation sont des charges " momentanées".
Les charges statiques sont des charges dites " permanentes" .
Autrement dit , tu es capables de soulever et de déplacer un sac de ciment de 50 kilos pendant un moment donné, mais tu ne seras pas capable de vivre en permanence avec ce même sac de ciment sur les bras quelques jours.
TA charpente, ton squelette, ne résistera pas.
Ça s'appelle de " la fatigue" .

Une bonne toiture , bien faite , bien calculée , ne s'envolera pas dans des conditions de vent " normales".
120 à , voir , 140 kms heure. C'est juste " momentané" .
Sous l'action du vent , une couverture de toiture va subir de la pression et de la dépression.
C'est cette pression et cette dépression sur des panneaux " plats" qui vont " augmenter " in fine , cette pression et dépression sur la charpente , ou les bois de construction. Ce sont les cycles " répétés" qui vont finir par " fatiguer" la construction qui , au départ , n'a pas été calculée pour , puisqu'il n'a pas été tenu compte AU DÉPART , des charges statiques permanentes.
Enfin bref , c'est compliqué.......quand même .

Quand aux bidouilles , OUI , il y a des constructions de nids SOUS Des panneaux photovoltaïques.

ET , pour tout savoir il y a encore un autre phénomène SOUS les panneaux. De par le fait d'avoir créé de l'ombre SOUS les panneaux , il peut y avoir prolifération de mousses , lichens et algues / verdure.
Il faut surveiller.

Hello,

Je suis globalement d'accord sur la présence de forces statiques (poids et sa variation due aux tassements) et dynamiques, qui s'ajoutent ou se retranchent plus des affaiblissements possibles de la structure en fatigue.

Pour ce qui est du vent, principal soucis, il ne faut pas se faire d'illusion, la structure va avoir une limite qui sera atteinte lors d'une rafale.
Si la force est au-delà soit cela va s'écrouler soit s'envoler.
J'ai souvenir que chez nous, aussi en Normandie, dans les années 199x une rafale a failli emporter un toit pourtant en chêne centenaire bien lourd, j'ai retrouvé ensuite sous la panne sablière du côté dépression des pierres.
La charpente n'est que posée sur les murs. Elle peut se soulever !!!

On fait des calculs selon des normes, rien de plus.

Les panneaux vont alourdir donc retarder le risque d'envolement d'un côté et augmenter le risque d'effondrement là ou arrive le vent (au vent disent les marins par opposition à sous le vent), mais ils ne vont pas augmenter les forces qu'exerce le vent sur toute la structure murs+toits.

A+
 
Petit complément.
On a deux installations solaires totalement indépendantes.
Celle que j'ai décrite c'est celle que j'ai réalisée, au sol.

L'autre avait été faite par des professionnels.
Deux strings de 8 panneaux au-dessus l'un de l'autre.
Or l'onduleur a 2 mppt.
Et bien les gars ont reliés en // les 2 strings de 8 puis l'ensemble arrive sur les protections DC et de là sur un seul mppt.
Cela pourrait être valable si l'hiver les deux strings étaient éclairés pareil.
Or en début et fin de journée les 2 strings, qui n'ont pas d'optimiseur cela n'existait pas, ne sont pas éclairés pareil, évidemment celui du bas a des ombres plus souvent.
Les deux strings ont alors des courants différents. A un endroit du câblage, au niveau du boitier dc, la tension est la même mais pas au niveau des panneaux.
On peut envisager que par moments l'un deux fournisse un courant inverse dans l'autre, ce qui correspond à une perte de production.
Tout dépend du degré d'ombrage, net ou diffus, proche ou lointain.
Il y a par moments des températures différentes sur les 2 strings. Par exemple ce matin seul celui du bas a du givre. Donc des caractéristiques électriques différentes. L'hiver, quand il neige, c'est toujours le string du haut qui se déneige en premier, il est le premier à recevoir le soleil.

Ils ont fait une petite économie, de bout de chandelle, l'essentiel était dans la pose, les panneaux et l'onduleur.
Comparé aux gros ennuis que d'autres on eu, c'est peanut. Je reste très satisfait.
Sur le forum photovoltaïque il y a des mises en garde concernant par exemple certains installateurs.
Le notre n'existe plus, mais il existe des sociétés qui réparent/nettoient.

A+
 
Dernière édition:
Au sujet des panneaux je me demande l'intérêt qu'il y a à avoir des bifaciaux, si pose sur un toit. Biverre par contre ça je comprends.
Ce sont des bifaciaux, biverres. 2 kg de plus par panneau.
Financièrement, c'est pareil.
Je vise la solidité et la garantie : 25 ans contre 20 ans.
Je n'ai pas fait de mesures, mais à mon avis même s'il y a 5 cm entre le panneau et le toit, derrière il n'y aura pas de production.
Non, c'est clair.
Maintenant peut-être que l'aspect finance intervient avant ou qu'il y aurait un vague lointain projet d'usage en carport ou autre pergola.
Non, voir plus haut.
Au fait je présume que ton onduleur va être dans le garage et que seul le jus AC va circuler dans le sol ?
Oui.
Je n'ai pas précisé la configuration.
Le terrain est légèrement en pente qui descend vers le sud.
Le bâtiment est du coup sur 2 étages. L'étage du bas est semi-enterré.
On rentre 2 voitures côté nord au premier étage et il y a un emplacement ouvert à côté des voitures pour bricoler.
Et du côté sud il y a à l'étage du bas une cave, un abri de jardin.
Ensuite au niveau électrique, l'arrivée par le sol depuis la maison se fait par le bas (câble d'environ 50m en 2x16mm2) et chaque étage dispose d'un tableau électrique.
Pour des raisons pratiques l'installation électrique PV sera faite à l'étage du haut, dans l'atelier à côté des voitures et au plus près du toit.
Donc côté DC, on est au plus près et côté AC, le tableau est déjà là à proximité immédiate également.
Tout peut être installé le long du mur sur 2 ou 3 mètres, je pense.

Côte protection au feu, c'est pas ouf.
Le premier étage et au dessus, c'est une structure bois + torchis + un peu d'isolation + panneaux OSB.
Les voitures seront à plus de 4 mètres de l'installation, mais c'est le même local.
Je vais probablement installer un détecteur d'incendie connecté au cas où et prévoir un extincteur ou deux.
Mais comme précisé plus haut, la batterie elle-même est déjà confinée et le reste ne devrait pas poser trop de problème si c'est bien posé. À suivre...
Et donc aussi la batterie. Qui a de toute façon intérêt à être éloignée d'un autre combustible, comme par exemple une cuve à fuel ou autre.
La batterie serait donc à l'intérieur, mais dans local hors d'eau (un peu d'humidité à cause des voitures) et non chauffé, juste isolé pour du hors gel.
Ce sont des accus lfp.
Et bonne remarque sur le risque d'inondation, à voir si cela est possible chez toi. En général l'accu est près du sol.
Inondation, non, par contre feu, j'aimerais éviter. 😁
Et pose au sol sur la dalle béton.
 
J'ai regardé un autre schéma, celui de la batterie.
C'est plus complexe que le premier schéma. Je retire ma mention de "malin".
Il y a en plus des accus, un module de puissance qui fait des conversions dc/dc.
Cela explique qu'il y a une ventilation sur ce boitier qui est placé au-dessus des accus. Il ne se contente pas de gérer les échanges de signaux bms - onduleur.

En plus de ce système actif, il y a un préchauffage des accus ce qui leur permet de gérer un fonctionnement jusqu'à -20°C.
Luna2000.jpg
 
Hello, comme déjà dit, au dessus de 3kwh, tva différente, passé de 10 à 20%. Si pose hors du toit principal de la maison, il y a également une histoire de prime qui saute( comme pose au sol).
Effectivement, il faut déclarer le revenu des panneaux aux impôts, au dessus de 3kvh.
Après, j'avais lu( à creuser), une histoire d'incompatibilité, entre la pose d'une batterie de stockage, et la vente du surplus( il y a des spécialistes, ici...), car j'aurais bien installé plus tard, mais à priori,plus possible, avec le contrat OA.
Pour moi 3 kwh, autoconsomation,toit pente à 40 degré plein sud, 8 panneaux, posés le mois prochain, après pré visite technique( état de la charpente, et ardoises.Et 4 mois d'attente, car situé en zone "protégée".
 
Concernant les panneaux biverre, longévité, oui l'étanchéîté est meilleure par la présence d'une vitre derrière, par contre plus solide je ne sais pas. En monoverre la vitre est en 4 mm, en biverre il y en a 2 de 3 mm. Or c'est pas comme un pare-brise feuilleté, les cellules ne sont pas collées.
Quand à la durée de garantie, comment dire, il faudrait que le fabricant existe dans 25 ans et de plus les panneaux existent encore.
L'installateur je n'en parle même pas, il sera à la retraite, ah ah !
Or la techno de ces panneaux évolue, disons vite ces dernières années.

On a reçu de la grêle et seuls les panneaux solaires ont résisté, il a fallu changer pas mal d'ardoises autour.
Mais si cela avait atteint les panneaux, je parie qu'on n'aurait pas pu trouver les mêmes; on aurait trouvé bien mieux et bien moins cher.

A+
 
J'ai regardé un autre schéma, celui de la batterie.
C'est plus complexe que le premier schéma.
J'ai vu quelque part une explication sur le fonctionnement interne au bloc contrôle + blocs batteries. il faudrait que je la retrouve.
Ce bloc de contrôle qui est sur le dessus doit gérer les différents blocs des batteries présents et les utiliser en fonction de leur état de santé.
En effet, rien n'oblige à avoir des blocs batteries qui soient du même âge.
Tu peux parfaitement démarrer avec un seul bloc et en rajouter d'autres quand tu en as envie.
Ou encore, de remplacer un bloc en cas de souci, mais pas les autres.

Je suppose que tu as déjà vu cette présentation :

 
Après, j'avais lu( à creuser), une histoire d'incompatibilité, entre la pose d'une batterie de stockage, et la vente du surplus( il y a des spécialistes, ici...), car j'aurais bien installé plus tard, mais à priori,plus possible, avec le contrat OA.
A priori cela ne poserait pas de problème, mais je vais approfondir ce point aujourd'hui ou demain.
Certains sur internet semblent affirmer le contraire. A voir.
 
Pour gérer les différences d'ensoleillement entre les panneaux, je ne connaissait pas le principe de l'optimiseur (pas bien compris comment ça marche d'ailleurs).
J'en était resté au micro-onduleur par panneau. Pour moi cette solution a deux avantages :
  • pas d'impact si un panneau est à l'ombre / en panne
  • sortie du panneau en 220 V au lieu de 12 ou 24 V, donc section des câbles plus faibles -> moins lourd, moins cher.
Je ne connaissait pas non plus le coup du double string, cela peut être une solution pour moi avec un pan à l'est et un pan à l'ouest.
Quand au stockage, pour l'instant j'avais vu que c'était juste prohibitif. Mais si les prix baissent, c'est peut-être une solution.
Donc je vous écoute avec attention !
 
En image, visu de la production de mes PV hier (journée ensoleillée avec beaucoup de passages nuageux):
en Orange, string B, orientation Est.​
en Bleu clair, String A orientation Ouest.​
en bleu foncé, production totale.​
1713869967173.png
collecte de données effectuée avec HomeAssistant
 
le principe de l'optimiseur (pas bien compris comment ça marche d'ailleurs)
Je n'ai peut-être pas tout compris, mais en gros l'idée est que chaque panneau dans une chaîne série fournisse sa contribution sans perturber le reste de la chaîne.
Si un panneau en particulier ne produit rien ou est en panne cela ne perturbe pas les autres panneaux et n'empêche pas et ne dégrade pas la production du reste de la chaîne.
Dans ce dernier cas, on pourrait imaginer que l'optimiser agit comme un bypass.
Ces optimiseurs semblent aussi communiquer avec l'onduleur.
Il est possible que l'onduleur indique à l'optimiser ce qu'il attend de lui.
Certaines caractéristiques de l'onduleur changent si les optimiseurs sont présents (par exemple la puissance max des chaînes).
 
En image, visu de la production de mes PV hier (journée ensoleillée avec beaucoup de passages nuageux):
en Orange, string B, orientation Est.​
en Bleu clair, String A orientation Ouest.​
en bleu foncé, production totale.​
collecte de données effectuée avec HomeAssistant
Hello,

Je ne sais si tu as étudié en détail la façon dont ton onduleur assure la limitation de puissance (à 6 kW).
Par exemple à 14h30 la chaine "orange" a priorité et c'est la bleue qui est réduite pour limiter la somme de leur puissance, mais en fin de cette période sans nuages c'est le contraire. Je suppose que tes 2 toits sont à considérer comme étant au même endroit, du point de vue des nuages, tout nuage agit de suite sur les 2 toits.

Chez Victron il y a priorité d'un champ sur l'autre, toujours le même, quitte, si nécessaire, à le mettre à zéro.

A+
 
Je n'ai peut-être pas tout compris, mais en gros l'idée est que chaque panneau dans une chaîne série fournisse sa contribution sans perturber le reste de la chaîne.
Si un panneau en particulier ne produit rien ou est en panne cela ne perturbe pas les autres panneaux et n'empêche pas et ne dégrade pas la production du reste de la chaîne.
Dans ce dernier cas, on pourrait imaginer que l'optimiser agit comme un bypass.
Ces optimiseurs semblent aussi communiquer avec l'onduleur.
Il est possible que l'onduleur indique à l'optimiser ce qu'il attend de lui.
Certaines caractéristiques de l'onduleur changent si les optimiseurs sont présents (par exemple la puissance max des chaînes).
Oui, un bypass quand il est bien ombré évitant que l'intensité totale ne s'effondre à cause de la grande résistance insérée, ce qu'on fait avec des diodes, avec en plus pourquoi pas, chaque panneau aurait ainsi son propre mppt, présentant chacun une puissance perso optimisée et augmentant un peu la production, par exemple parce qu'ils ne sont pas tous égaux, et alors l'onduleur central n'aurait plus à gérer le mppt.
Ceci dit l'intensité dans chaque optimiseur dans la boucle DC-onduleur est forcément la même pour tous. Il est peut-être utile qu'ils communiquent entre eux ?
Il y aurait alors l'avantage des micro-onduleurs (qui eux n'ont pas l'intensité en commun mais la tension) plus l'avantage de la tension élevée DC que n'a pas le système micro-onduleur, plus l'absence de conversion DC->AC de l'onduleur central dans le cas de batterie.
Si l'éclairement est homogène et les panneaux de caractéristiques proches, ce système est inutile voire génère de petites pertes en plus.

A+
 
...
Je suppose que tu as déjà vu cette présentation :

Oui, et j'ai même téléchargé le pdf d'où est sorti le schéma que j'ai posté. ;)

Oui, ils pensent plus dans leur système à des plus gros sites de stockage, il est aussi possible d'avoir plusieurs groupes de 1 à 3 accus.
En plus leur module de puissance ne sort pas la même tension selon que l'onduleur est en mono ou en triphasé.
Rien que le module de puissance est dans les 1000€. Plus les accus, mais le lfp est le moins cher dans la branche lithium, seul le sodium ion est moins cher.
 
Si l'éclairement est homogène et les panneaux de caractéristiques proches, ce système est inutile voire génère de petites pertes en plus.
Oui. Le rendement des optimiseurs est de 99%.
Dans mon cas, avec l'ombrage, c'est indispensable.
Rien que le module de puissance est dans les 1000€.
Les prix très indicatifs, c'est :
Le module de puissance : 1100€ TTC
Le module batteries de 6,9kWh : 3100€ TTC
On est donc en gros entre 4200€ et 10400€ TTC. Y a peut-être possibilité de prix dégressif si tu prends une grosse config.
Il est évident que ce n'est pas bon marché par rapport à d'autres batteries "nues" qu'on peut trouver sur le marché, mais c'est sensé être secure, "intelligent" dans sa gestion d'énergie, intégré et on crache pas sur la garantie de 15 ans.

D'ailleurs je me pose des questions sur la longévité au-delà de 15 ans et la façon de l'améliorer. Peut-être jouer sur le seuil de charge maxi et mini, ce qui est parfaitement paramétrable ? Je n'aime pas trop l'idée de la charge à 100% et de la décharge à ~0%. Pas sûr que ça soit ça par défaut, mais ce n'est pas impossible. Descendre un peu en-dessous de 100% et limiter la décharge à 5% serait peut-être plus raisonnable ?
Je n'ai pas de recul sur la techno LiFePo4.
 
...
Les prix très indicatifs, c'est :
Le module de puissance : 1100€ TTC
Le module batteries de 6,9kWh : 3100€ TTC
...
Je trouve cela très très cher.
C'est le même ordre de prix au kWh stocké qu'une Tesla ...
 
C'est tout à fait possible que ça soit cher.
Mais encore une fois, il faut comparer des choses comparables.
Il ne s'agit pas de quelques cellules en vrac, y a quelques trucs autour.
Mais je ne force ou n'encourage personne à acheter.
Il est d'ailleurs fort possible que selon l'installation PV et la conso cela puisse n'avoir aucun sens d'en prendre.
Même dans mon cas je n'ai pas de recul dans l'immédiat.
 
Hello,

Je suis globalement d'accord sur la présence de forces statiques (poids et sa variation due aux tassements) et dynamiques, qui s'ajoutent ou se retranchent plus des affaiblissements possibles de la structure en fatigue.

Pour ce qui est du vent, principal soucis, il ne faut pas se faire d'illusion, la structure va avoir une limite qui sera atteinte lors d'une rafale.
Si la force est au-delà soit cela va s'écrouler soit s'envoler.
J'ai souvenir que chez nous, aussi en Normandie, dans les années 199x une rafale a failli emporter un toit pourtant en chêne centenaire bien lourd, j'ai retrouvé ensuite sous la panne sablière du côté dépression des pierres.
La charpente n'est que posée sur les murs. Elle peut se soulever !!!

On fait des calculs selon des normes, rien de plus.

Les panneaux vont alourdir donc retarder le risque d'envolement d'un côté et augmenter le risque d'effondrement là ou arrive le vent (au vent disent les marins par opposition à sous le vent), mais ils ne vont pas augmenter les forces qu'exerce le vent sur toute la structure murs+toits.

A+
Tu as raison, depuis les années nonantes, les normes ont été revues. Premières "grosses" tempêtes.
ET OUI , une toiture n'est que posée sur les murs. SAUF QUE, il faut mettre en oeuvre un système "d'arrimage".
Système qui a été ignoré pendant des années et des années et encore aujourd'hui par certains, voir beaucoup d'hommes de métier.
Ensuite , il faut tenir compte de l'endroit où se trouve l'habitation. le pays étant divisé en differentes zones .
Par leur planéité, les panneaux photovoltaïques "jouent" le rôle d'une aile d'avion. D'où un effet "augmenté " de pression et dépression.
Voila.
 
Effet d'aile d'avion, j'ai cherché, peut-être que certaines toitures en tuile n'étant pas étanches à l'air, celui-ci passe en partie par exemple entre les tuiles ? Pour des granges et autres toits non isolés/aménagés à l'étage.
Il y a aussi une rugosité des toits en tuiles comparé aux panneaux mais là cela devrait être l'effet contraire, le panneau photovoltaïque ne freinant pas le vent. La pente moyenne reste la même.
Si panneau en surimpression Il y a un effet du à la lame d'air de quelques cm sous le panneau air qui va circuler en cas de tempête, je ne vois pas d'effet en + ou -.
D'ailleurs les contrôleurs aériens n'en tiennent pas compte...:-D
 
Je vais quand même transmettre TES conclusions aux ingénieurs du CSTC en Belgique, (ou CSTB en France). Sait-on jamais, ils reverront peut-être leurs conclusions, essais et constatations.
Avec la situation aggravante que cette année ma cotisation à cette institution s'élève à + de 740 €uros.
A mon avis, ce sont des arnaqueurs. Mais à qui encore faire confiance en 2024 après JC. ? Hein, on se le demande.
 
Cool.

Conclusions, enfin c'est qu'une ébauche, faudrait ajouter quelques équations, quantifier en somme. ;)

Mais si cela n'augmente pas ta cotisation, je suis intéressé par leurs explications.
Entre autre parce que j'ai un toit avec des panneaux.

Sinon, il y a les bénévoles. ;-)
 
Pages vues depuis le 20 Oct 2005: 310,787,501
Retour
Haut Bas