Hyundai Ioniq - Atkinson/Injection directe: >> rejets de particules fines et de NOx ?
L'Ioniq est propulsée en partie par un thermique à injection directe. Pour certains, comme libride ici et
Lel sur HL, cela veut dire que la messe est dite.
Mais est-ce que l'on peut vraiment dire qu'un thermique fonctionnant en mode Atkinson ET en mode GDI (= mélange stoechiométrique air/carburant), rejette autant de particules fines et de NOx que par exemple un TCe Renault ou TSI VW ?
En effet, ici, les soupapes restent ouvertes plus longtemps pendant la phase de compression, et une partie du mélange est repoussée dans le tract d'admission. Déjà, selon cet
article au moins un moteur GDI de Hyundai, le Kappa 1.0 T-GDi de 118 ch de l'i20 produit moins de particules.
En attendant ces solutions sur des moteurs existant, le premier constructeur à annoncer un moteur répondant aux normes Euro 6c est Hyundai, sans pour autant recourir à des solutions révolutionnaires. Ce trois-cylindres turbocompressé 1.0 T-GDi de 118 ch se contente en effet d'un collecteur d'échappement intégré à la culasse et d'un système de refroidissement séparé de la culasse et du bloc.
Le GDI de l'Ioniq est également un modèle de la série kappa. Le fait d'y ajouter le mode Atkinson, ne pourrait-il pas diminuer davantage ces rejets ?
En attendant des mesures fiables, est-ce que nos spécialistes seraient en mesure de nous éclairer, si possible avec des connaissances exactes ?
Jan