Pour ceux qui veulent vraiment se donner la peine de chercher.....
parmis plusieurs articles parlant du sujet de l'action de la chloroquine :
https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0166354220301145#!
voici un exemple;
etude publiée en novembre 2003 dans la revue the lancet montrant l'activité antivirale de la chloroquine, soit 17 ans pour cette etude:
https://www.sciencedirect.com/scien...144802c&pid=1-s2.0-S1473309903008065-main.pdf
Effects of chloroquine on viral infections: an olddrug against today’s diseases?
Chloroquine is a 9-aminoquinoline known since 1934. Apart from its well-known antimalarial effects, the drug has interesting biochemical properties that might be applied against some viral infections. Chloroquine exerts direct antiviral effects, inhibiting pH-dependent steps of the replication of several viruses including members of the flaviviruses, retroviruses, and
coronaviruses. Its best-studied effects are those against HIV replication, which are being tested in clinical trials. Moreover, chloroquine has immuno-modulatory effects, suppressing the production/release of tumour necrosis factor and
interleukin 6, which
mediate the inflammatory complications of several viral diseases. Wereview the available information on the effects of chloroquine on viral infections, raising the question of whether this old drug may experience a revival in the clinical management ofviral diseases such as AIDS and severe acute respiratory syndrome, which afflict mankind in the era of globalisation.Lancet Infect Dis2003;3:722–27
l'explication du dr raoult extrait de l'article sur mon post precedent (marcelle.media):
Quels mécanismes entreraient en jeu avec l’administration d’hydroxychloroquine ?
Cette molécule aurait deux effets pour accélérer l’élimination du virus : il modifierait d’abord l’environnement acide de la poche vacuole de la cellule. Ce petit sac de liquide protégé par la membrane sert de nid aux virus. En augmentant son pH (potentiel Hydrogène), l’écosystème tranquille de cet abri est chamboulé et les enzymes, impliquées dans la machinerie cellulaire utilisée par le virus pour se répliquer, sont empêchées d’agir. L’hydroxychloroquine favoriserait également l’apoptose, c’est-à-dire la mort cellulaire programmée, un mécanisme génétique qui protège l’organisme des infections en commandant aux cellules infectées de s’autodétruire. Je vais travailler avec l’expert de renommée mondiale Guido Kroemer, professeur d’immunologie à la faculté de médecine de l’Université de Paris Descartes et directeur de l’unité de recherche « Métabolisme, cancer et immunité », pour approfondir les travaux sur les mécanismes impliqués.