Steve Jobs et les tablettes
Pour connaître le meilleur et le pire de Steve Jobs, il y a
ce livre qui décrit toutes les facettes du personnage. Nombreuses interviews. On y retrouve toutes les critiques (+ et -) qu'on avait pu entendre/lire/voir avant sa mort.
Pour la tablette : Certes. Et il n'y a pas que là (les écrits de sciences fictions sont bien plus nombreux que les quelques séries de télévision).
1/ Mais tous les acteurs de l'électronique et de l'informatique avaient accès à ces livres et séries, non ?
2/ Lui avait cette volonté de la réaliser, selon sa description de 1983, mais au bon moment, avec les technologies suffisantes (à noter qu'il n'était pas chez Apple à la sortie du Newton et qu'il l'a dégagé quand il est revenu - pour des raisons controversées).
3/ D'autres ont lancé des tablettes avant l'iPad (avec des technologies insuffisantes). Echec (en tous cas, des diffusions relativement confidentielles).
4/ D'où les réactions unanimes des acteurs de l'informatique à la sortie du 1er iPad (et ses ventes annoncées) : "Ca ne marchera jamais", "c'est nul", et surtout : "
il n'y a pas de marché"
5/ Et tous ces acteurs ont bien été obligés de suivre (avec qqes années de retard).
@Robain : Tu voulais rester aux voitures à carburateur, qui consommaient 10L à 20L /100, dont le ralenti se déréglait tout le temps ? Le 1er calculateur dans les autos : C'est l'injection. Sans calculateur : pas d'ABS, pas d'airbag, ... Ces calculateurs ont permis de réduire le nombre de morts sur les routes.
Ils tombent en panne ou sont bogués ? Tout dépend du prix du calculateur !
Deux extrèmes : chez Renault, dans les années 2000 à 2010, le 1er critère d'achat d'un calculo est son prix. Avec son boitier, et aux normes automobiles, c'était 10-20€ maxi l'unité en prix d'achat, firmware et outils externes (flash/test industriel) compris ... Chez Porsche, le 1er critère d'achat est la qualité. Même si le calculo coûte 10, 20 ou 30 x plus.