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Merci Super4L d'avoir pris le temps de répondre à mes questionnements !
Jan
Jan
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Ils essayaient de faire de l'hybride diesel et surtout pas essence. Ils ont voulu faire un truc plus ou moins original, pour lequel ils seraient précurseur. Ils ont mis 15 ans pour se rendre compte que ça ne marcherait pas, laissant les japonaises prendre encore plus d'avance.Je pense que les causes sont claires, politique et économique et tous les choix n'ont pas été faits pour l'écologie même si la technologie était déjà là.
Toyota possède des voitures hybrides depuis plus de vingt ans.
Où étaient les autres ?
...
De ce que j'en sais, à court terme, un VE remplaçant un ancien thermique va déplacer la pollution dans les villes vers les lieux de production, surtout en ce qui concerne les terres rares pour les moteurs électriques et les métaux pour les batteries. Quant au GES économisés, planetaire a mentionné un chiffre de 60000 km à parcourir avant d'arriver à un "break even". Cela dépendra du modèle, le pays d'utilisation (nettement plus en Allemagne), et leur utilisation....
Jan
Je suis personnellement persuadé que la réduction de la procréation ne peut avoir qu'un effet massif et bénéfique. En regardant ce classement cela semble se confirmer. L'impact des mesures 6 et 7 citées ci-dessus aurait un impact 10 fois plus important que les EV de la 26.Dans le document cité par planetaire:
Summary of Solutions by Overall Rank
Solution # 6 & 7 LES FEMMES ET LES FILLES & PLANIFICATION FAMILIALE
Formulé de façon politiquement correcte.
Tu veux dire que se retenir ou se retirer à temps, c'est ça le pire ?artur nous prépare à accepter le pire!
@volkan:
Peux tu expliquer ton raisonnement?
Artur analyse des hypothèses de travail issues d'un document Summary of Solutions by Overall Rank
source : LCIAu fil des années, le débat sur l’impact réel de la croissance démographique sur le climat a aussi été changeant. Dans les années 1990, des chercheurs ont plutôt mis en avant l’impact de la consommation. Fred Pearce, journaliste spécialisé dans les questions d’environnement, estimait ainsi en 2009 que "le demi-milliard de personnes les plus riches du monde – c’est-à-dire environ 7 % de la population mondiale – est responsable de 50 % des émissions mondiales de dioxyde de carbone (...) Par contre, la moitié la plus pauvre de la population mondiale est responsable de 7 % seulement des émissions".
source : notre planèteL'humanité devrait coloniser l'espace pour survivre
Ce constat a été également maintes fois partagé par le célèbre astrophysicien Stephen Hawking[4]. Selon lui, la disparition de l'humanité devrait intervenir dans le siècle et rien ne pourra y changer.
Il avance plusieurs risques de portée planétaire :
- une guerre nucléaire (de plus en plus probable) ;
- une pandémie suite à l'apparition d'un virus génétiquement modifié ;
la domination de l'espèce humaine par l'intelligence artificielle (le scénario de Terminator en quelque sorte) ;
- l'épuisement des ressources de la planète incapables de satisfaire une croissance démographique effrénée.
Seule solution pour Hawking : préparer sans plus attendre la colonisation des planètes proches de la Terre pour que le destin de l'humanité ne s'arrête pas prématurément...
Climat : « Freiner la croissance de la population est une nécessité absolue »
Pour lutter contre le réchauffement de la planète, il faudra aussi freiner la croissance démographique, estime ce collectif de scientifiques dans une tribune au « Monde ».
Avec humour, il a proposer une solution mais non lu dans les pays ou la moyenne d'age est de 30 ans en capacité de reproduction.Tu veux dire que se retenir ou se retirer à temps, c'est ça le pire ?
Ne lui fais pas un procès d'intention et, STP, plutôt que de vociférer, construis une argumentation, et cerise sur le gâteau, propose des solutions acceptables par tout le monde
Le site « Le climat en questions » s’adresse à tous ceux qui s’intéressent au climat de la Terre et à son évolution. Il est né d’une volonté, celle de donner la parole de manière directe aux chercheurs. S’agissant d’un sujet complexe, qui a fait et fera l’objet de débats difficiles, il est important que les chercheurs sur lesquels reposent le diagnostic scientifique soient connus, identifiés, et puissent faire connaître la nature de leur travail, les outils sur lesquels ils s’appuient, les difficultés qu’ils rencontrent. Nous espérons que le support interactif que constitue un site web ajoutera une dimension supplémentaire : celle de la capacité à évoluer, à se saisir de nouveaux champs disciplinaires, de nouvelles questions, de nouveaux enjeux.
Le but du site est d’aider les lecteurs à se former. Pour leur éviter de se perdre dans un ensemble trop large de rubriques déconnectées, les questions sont regroupées par thèmes (fonctionnement du climat, observation du climat, évolution actuelle, etc.) qui constituent autant de parcours possibles à travers les contenus du site.
il faut le travail de 50 à 100 personnes pendant une décennie environ pour développer de tels modèles, et il existe une vingtaine de laboratoires à l’échelle mondiale qui ont entrepris de relever ce défi."
Le développement de la modélisation a été accompagné d’un effort international d’évaluation. Chaque groupe de modélisation participe ainsi à un protocole expérimental défini de manière internationale (expériences « CMIP2 » du Programme Mondial de Recherche sur le Climat), et les résultats de chaque modèle sont confrontés à la réalité par des groupes de recherche très nombreux (près d’un millier) qui ne font pas un travail de modélisation mais d’analyse des modèles, pour une région du monde ou pour un processus ciblé.
Jusqu’à présent, il n’a jamais été possible de trouver un modèle universellement meilleur ou universellement moins bon que les autres : c’est très souvent la moyenne des modèles qui fournit le résultat le plus réaliste.
Pour l’évaluation du climat futur, il n’existe pas de référence observée et c’est la dispersion des modèles qui fournit une estimation des incertitudes affectant le diagnostic scientifique actuel.
Je partage complètement ta conclusion.…
Tout cela pour dire que n'est pas remis en cause le réchauffement-emballement climatique, ses causes. Les modèles peuvent faire apparaître des divergences, par exemple savoir si tel(s) pays d'Asie sera inhabitable en 2050 ou 2080 donc avec un degré de confiance faible ou moyen ou fort.
Ou bien si les précipitations seront plus faibles de 10 20 30% en tel ou tel endroit du globe (en France par exemple) avec un degré de confiance ...
A+
Je dirai les deux: agir et essayer de convaincre le plus de personnes possible de ... l'urgence car on voit arriver une situation qui peut être irréversible, fatale, que notre espèce n'a jamais connue. Ce type de réflexion dépasse très largement le simple cadre du climat.Je partage complètement ta conclusion.
Peu importe les chiffres, il est raisonnable d'agir différemment. Chacun peut en faire un peu ou beaucoup. On peut aussi chercher à convaincre tout le monde.
Il faut cependant malgré "l'urgence" que cela reste un choix. Toute obligation non acceptée très largement sera contre-productive et pourrait relancer des guerres qui feront encore plus de dégâts.
S'il s'avérait que le changement climatique n'existe pas, nous serions gênés !
"Oui, nous pourrions faire quelque chose contre le changement climatique maintenant, mais si dans 50 ans, nous constaterions que tous les scientifiques ont fait une erreur après tout et qu'il n'y a pas du tout de réchauffement climatique, alors nous nous en serions occupés sans aucune raison,
Nous nous en fâcherions."
- que même dans les villes, on peut respirer l'air à nouveau,
- que les rivières ne sont plus toxiques,
- que les voitures ne font ni bruit ni puanteur
- et que nous ne sommes plus dépendants des dictateurs et de leurs ressources pétrolières.
Marc-Uwe Kling
Il faut changer radicalement notre référentiel en mettant l'amélioration de la condition humaine ........
C'est une utopie certes mais elle me fait rêver et c'est déjà pas si mal !