Alterociter
Expert
On peut comparer un cheval à un bon motoculteur : Chez mes anciens, pour couvrir les pieds des petites vignes typiques du coin, on est passé de Coquette au Staub PP2X 7ch
. L'un et l'autre on montré leurs qualités, et leurs défauts.
Mais quand il faut passer à de gros travaux, les gros engins bénéficient de l'effet d’échelle : On peut tirer plusieurs socs plus larges, on peut limiter les aller-retour lors des récoltes en trimbalant beaucoup plus de charge utile en une seule fois, on peut travailler des sols plus difficiles, dans des conditions plus pénibles, etc... Le tout à un rythme qui aurait assassiné la pauvre coquette, et dans un confort qui n'a rien à voir.
On remplace de plus en plus le labour et les autres passage d'outils par un seul passage avec un combiné travaillant moins le sol en profondeur. Mais ces outils sont entraines par un prise de force à l'arrière de l'engin, que Coquette n'avait pas au c. Les outils tournants à traction animale (Faucheuse, râteaux, lieuses...) sont entraines par les roues, et chaque reprise d'élan est pénible pour l'animal.
Un engin consommant 20l/h de gazole, soit 220 kWh, se contentera de la moitié au H2. Mais il pourra couvrir plus de 4 fois la largeur travaillée par un cheval, en allant 2 fois plus vite, et ne fera qu'un passage là ou le cheval devra labourer, herser, semer et rouler. Un coef de 16
Le record de conso. pour une moissonneuse-batteuse est de 1,35 l de gazole par tonne récoltée :
http://www.claas.com/cl-pw/fr/current/md_weltrekord/start,bpSite=62758,lang=fr_NO.html
Difficile de faire aussi bien sans matériel capable d'avaler et recracher beaucoup de watts. Et pour ce genre d'engin, il n'y a que le H2 qui permet de concurrencer le pétrole. Même en ne proposant dans l’immédiat que du H2 issu de la filière fossile, on réduirait déjà sensiblement la consommation et la pollution des ces machines, tout en simplifiant leur maintenance (Plus de vidanges, moins d'hydraulique et pièces d'usure et plus d’électrique, etc...) .
En 1800, nous étions moins nombreux, et pourtant,par ici, manger à sa faim n'était pas à la portée de tout le monde. Et la production agricole se faisait par des ouvriers agricoles travaillant dans des conditions terribles qu'on a un peu trop oublié.
Mais quand il faut passer à de gros travaux, les gros engins bénéficient de l'effet d’échelle : On peut tirer plusieurs socs plus larges, on peut limiter les aller-retour lors des récoltes en trimbalant beaucoup plus de charge utile en une seule fois, on peut travailler des sols plus difficiles, dans des conditions plus pénibles, etc... Le tout à un rythme qui aurait assassiné la pauvre coquette, et dans un confort qui n'a rien à voir.
On remplace de plus en plus le labour et les autres passage d'outils par un seul passage avec un combiné travaillant moins le sol en profondeur. Mais ces outils sont entraines par un prise de force à l'arrière de l'engin, que Coquette n'avait pas au c. Les outils tournants à traction animale (Faucheuse, râteaux, lieuses...) sont entraines par les roues, et chaque reprise d'élan est pénible pour l'animal.
Un engin consommant 20l/h de gazole, soit 220 kWh, se contentera de la moitié au H2. Mais il pourra couvrir plus de 4 fois la largeur travaillée par un cheval, en allant 2 fois plus vite, et ne fera qu'un passage là ou le cheval devra labourer, herser, semer et rouler. Un coef de 16

Le record de conso. pour une moissonneuse-batteuse est de 1,35 l de gazole par tonne récoltée :
http://www.claas.com/cl-pw/fr/current/md_weltrekord/start,bpSite=62758,lang=fr_NO.html
Difficile de faire aussi bien sans matériel capable d'avaler et recracher beaucoup de watts. Et pour ce genre d'engin, il n'y a que le H2 qui permet de concurrencer le pétrole. Même en ne proposant dans l’immédiat que du H2 issu de la filière fossile, on réduirait déjà sensiblement la consommation et la pollution des ces machines, tout en simplifiant leur maintenance (Plus de vidanges, moins d'hydraulique et pièces d'usure et plus d’électrique, etc...) .
En 1800, nous étions moins nombreux, et pourtant,par ici, manger à sa faim n'était pas à la portée de tout le monde. Et la production agricole se faisait par des ouvriers agricoles travaillant dans des conditions terribles qu'on a un peu trop oublié.