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Blocage de grille

:hehe: Tu vas te faire recruter par la Sécu.....Boucher les trous, tu M çà !
 
vanadium à dit:
J'ai déjà fait de l'autoroute avec ma P2, blocage complet en bas, une seule lame ouverte en haut, et pas de soucis avec +10°C dehors. Le thermique restait à 85-86°C, vu au scangauge.
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C'est exactement la bonne méthode.
et les MG sont à la bonne température.
 
Avec ce blocage de grille, le moteur monte beaucoup plus vite en température le matin ?
 
Bas les "pâtes" Ageasson avec tes fautes d'homonymies, sinon tu vas te prendre encore un plat de "pattes" sur la tête.... :grin::grin:
 
:horreur: ....Pour la Pie, c'est pis que pendre et je fuis déguisé en cheval pie,
surtout maintenant que certains cuisiniers prétendent que la Pie est de Biche,
ou que la Pie est Thon !
 
bon, je vais préparer, et installer mes boudins.

les températures commençant à baisser, (moins de 10°)

et ne faisant plus que 4 km le matin et le soir pour le moment.....
cela gardera le moteur au chaud... 😎
 
bon, pas de problème de température avec le blocage de grille latéral.
On va le garder
 
Et voilà j'y suis passé.
Commandé et installé Torque et hop c'est parti pour les tests avec le blocage de la grille du haut (2 x 49 cent pour les deux isolants pour tuyaux de 15mm)

Je vous passe les résultats concernant la chauffe plus rapide du moteur thermique, le fait que le moteur thermique doit moins souvent se remettre en marche pour le chauffage de l'habitacle, etc...
Vous le savez tous déjà par la multitude de témoignages dans ce sujet.

Là où j'étais très intéressé (et où j'avais déjà posé des questions en ce sens), c'est qu'en théorie, le système de refroidissement de la voiture, si il est prévu pour pouvoir empêcher la voiture de surchauffer grille ouverte par 30 degrés en été, devrait pouvoir le faire grille obstruée par 15 degrés en novembre.

Donc me voilà parti, moteur bien chaud, dépassant rarement les 86 degrés, mais une route propice aux pulse & glide ou aux vitesses constantes à 1500 tours/minutes max.

Puis, l'instant intéressant, une longue côte constante de 4 ou 5 kilomètres, dans laquelle si on reste à 2000 tours, on se retrouve à 35 km/h au dessus (et encore), donc c'est parti, 2000 tours jusqu'à 2800 tours en continu pour maintenir le 80 km/h

Et là, observation. La température monte. Vite. Un demi degré par seconde !
Je surveille, prêt à m'arrêter si il le faut, ou ralentir et passer en EV pour me garer dans un chemin de campagne.
87, 87, 88, 88, 89, 89, 90, 90... et là soudainement POUF ça descend en flèche, moins 2 degrés par seconde 88, 86, 84, 82, 80, 78 (et je suis toujours dans la même accélération très constante)
Puis hop, ça remonte de la même manière (un demi degré par seconde), et à 90 boum pareil ça redescend de 2 degrés par secondes jusqu'à 78 ou 80.

Et me voilà rassuré sur ce point ! Maître Ventilateur a fait son oeuvre comme un chef !

Bon, je n'ai pas dit qu'on peut garder les grilles bloquées à n'importe quelle température, mais si le circuit de refroidissement fonctionne de manière aussi efficace à 15 degrés, ça veut dire qu'en dessous, aucun souci à se faire, et que même si on arrive (début d'automne ou début de printemps) à des petites pointes de 18 ou 20 degrés au plus chaud de l'après midi mais qu'il fait encore frais le matin et le soir, alors selon moi, on ne prend pas de risques 🙂

Je ne sais pas trop si je vais bloquer la grille du dessous, vu qu'elle est plutôt faite pour l'électronique si j'ai bien suivi vos discussions, et que l'électronique a un meilleur rendement au froid.

Mais pour celle du dessus, je suis convaincu 🙂
Et j'espère vous avoir apporté un peu de tranquilité d'esprit et rassuré ceux qui se posaient des questions ;-)
 
Chris rebel 78 à dit:
...D'autre part, on démarre par le grand froid, et après, on n'y pense plus forcément, et on se découvre avec un système qui chauffe parce qu'il fait beau et que la température extérieure est remontée.
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Une solution pour possesseur d'UG


Depuis le 10 novembre, je roule avec la grille du haut bouchée, pas de problèmes de température moteur.
Même avec la sécurité de l'alarme à 89° (paramétrable), je n'ai pu m'empêcher de surveiller cette donnée de près : je remarque qu'à l'abord d'une côte, la température commence par chuter d'une bonne paire de degrés, avant de remonter (augmentation immédiate du débit de liquide avant production supplémentaire de calories ?).
Précision : un après-midi à 16-17°, sur petite route en P-G, pas d'échauffement. Avant de pénétrer sur nationale, j'ai préféré enlever un boudin isolant. :bye:
 
Que ce soit sur route, autoroute, ville ou nationale, à partir de novembre je roule avec uniquement une lame ouverte en haut. Tout le reste est bouché. Le moteur ne dépasse pas les 90°C, sur une PII. Je fais ça depuis des années.
 
hello,

pour résumer les 9 pages:

en hiver - de novembre à avril = périodes des pneus neige - et pour du circuit mixte, on ne craint rien à boucher les grille:
-> du bas supérieure
-> du haut inférieure
avec des tuyaux de 12-15mm.

Le moteur monte plus vite en température, et surtout, il y reste plus facilement (a fortiori pour ceux qui roulent en E85 et mix-consorts).

J'ai bon ?
 
Oui, et avec un contrôle de la température, c'est parfait.
 
Etienne à dit:
Et me voilà rassuré sur ce point ! Maître Ventilateur a fait son oeuvre comme un chef !
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Je ne pense pas que le ventilateur soit pour quelque chose dans le refroidissement que tu as constaté.

Ce serait plutôt le calorstat qui, en s'ouvrant vers 90°C, met en communication l'eau froide du radiateur avec l'eau chaude du moteur.

Le ventilateur, lui, ne se met en marche que lorsque le radiateur est trop chaud ce qui n'arrive que si la vitesse de la voiture est trop faible pour assurer un débit d'air suffisant dans le radiateur.:jap:
 
croco78 à dit:
Je ne pense pas que le ventilateur soit pour quelque chose dans le refroidissement que tu as constaté.

Ce serait plutôt le calorstat qui, en s'ouvrant vers 90°C, met en communication l'eau froide du radiateur avec l'eau chaude du moteur.

Le ventilateur, lui, ne se met en marche que lorsque le radiateur est trop chaud ce qui n'arrive que si la vitesse de la voiture est trop faible pour assurer un débit d'air suffisant dans le radiateur.:jap:
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Merci pour ces précisions, je ne savais pas que c'était aussi bien pensé ! Je pensais que tout le circuit était ouvert, donc circulait sans arrêt entre le moteur et le radiateur.
 
Dernière modification par un modérateur:
Merci pour ces précisions, je ne savais pas que c'était aussi bien pensé ! Je pensais que tout le circuit était ouvert, donc circulait sans arrêt entre le moteur et le radiateur.
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Les woitures priusthoriques avaient déjà un calorstat : en 1969, le calorstat de ma Dauphine (ma première !) était coincé par le tartre...
 
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