Sachant que pour un modérateur, déplacer 10 ou 11 messages c'est à peu près le même job, je me permets donc ce post.
Imaginons deux scénarios :
Version libérale, tendance capitaliste:
Les acheteurs de voitures d'occasion se regroupent en disons, "centrales d'achat" et cassent donc les prix. Très puissants, ils empêchent toutes les autres transactions, sous forme par exemple d'intimidation des éventuels vendeurs isolés. On peut par exemple se demander pourquoi tous ceux qui envisageaient une vente perso on vu leur faisceau électrique rongé par un bien étrange animal aussitôt disparu son méfait fait.
Version Ecolo branche ultra méga hyper dure, (surnommés les têtes brûlées par dérision face à leur soucis du CO² ainsi rejeté)
Il est interdit de revendre d'occasion son véhicule. Les seuls cas prévus sont les destructions suite à un accident de la route, et encore si on peut prouver ne pas être responsable. En effet sinon il y a suspicion de destruction déguisée. En cas de vol il n'y aura pas d'autre choix que de retrouver la voiture.
Ceci amènera la construction de parkings géants pour stocker toutes ces voitures que collectionneront les usagers suffisamment riches.
Car ne pouvant plus acheter un véhicule neuf en le finançant en partie par la revente d'un ancien, cela limitera rapidement le nombre de véhicules mis en fabrication, ce qui est le but voulu et revendiqué par ce mouvement qui aurait, étrangement (suite à une catastrophe écologique ?), réussi à devenir majoritaire. Afin de ne pas passer pour de durs extrémistes (ce que des historiens dans le passé auraient pu penser), ils ont voté ultérieurement un amendement autorisant le don d'un véhicule à une personne n'en ayant pas et en ayant absolument besoin.
En résumé, sans acheteur dont le prix est accepté par le vendeur l'occasion ne fera plus recette.
Il faut être deux pour des tas de choses de la vie.
A+