elle trouve dangereux de se fier à a régulation automatique de la vitesse car si on est distrait, on risque d'accrocher la voiture qui vous précède si elle roule plus lentement que vous. Danger aussi, selon elle, lors des manœuvres de dépassement. Je dois bien reconnaître que sur le même trajet, elle arrive plus souvent à une moyenne de 4,2 que de 4,6.
Alors ça, ça dépend typiquement du profil du conducteur et de la voiture.
Pour l'exemple, avec une Volvo de 170ch, j'étais au régulateur 80% du temps. Même à 50 km/h.
Le moteur trop puissant ne permettait pas conserver une vitesse stable sans une attention (trop) soutenue du compteur. Là, utiliser un régulateur en ville était plus sécurisant...
Avec la PII, j'utilise le régulateur 20% du temps (sur autoroute la plupart du temps).
Je fais par contre parti des (rares ?) conducteurs qui conserve le pied droit au dessus de l'accélérateur. Prêt à freiner ou à accélérer au moindre problème. L'avantage : ne plus s'occuper du compteur de vitesse. L'attention est toute entière à la route. Si la voiture de devant est plus lente, je le verrais d'autant plus facilement.
Mais, oui, le régulateur a tendance à faire consommer un peu plus. Une des solutions est de "reprendre le contrôle" lors des côtes pour limiter la surconso.
Mais chaque personne a une perception différente du régulateur de vitesse.
La première fois, ça m'a fait tout drôle. Maintenant, j'ai la sensation de contrôler la bête.
Il faut un temps d'adaptation pour tout.
) cela rend les longs parcours moins fatiguants. Utilisant régulièrement une Avensis non équipée de cette option je fatigue davantage sur les longs trajets à son volant. Personnellement je reprends la main (ou le pied) régulièrement afin d'éviter l'effet "déconnection" du cerveau. En revanche je ne vois pas comment l'usage du régulateur peut être possible en ville ?
