shadoko
Participant hyperactif
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yamonbato kadératé
Ach, kolossale légende que ces Japonais obligés de travailler jusqu'à la dernière minute dans le souci de ne pas perdre de temps...
Raisonnons 2 secondes : ce qui coûte cher dans le transport maritime, c'est le volume à transporter et la vitesse du bateau. Pour un produit non périssable (dans la limite du raisonnable) comme une voiture, le "temps perdu" sur le bateau ne coûte pas grand-chose, sinon la nécessité de prévoir les approvisionnements avec un délai.
En revanche embarquer des ouvriers pour serrer des boulons coûterait cher : outre qu'on les voit mal travailler sur des voitures serrées comme des sardines, il faut quand même envisager de les nourrir, de les faire dormir (cabines à prévoir), bref de concevoir un bout du bateau qui ressemble à un navire de croisière, même de classe inférieure. Et par grosse mer, risque que le travail soit sérieusement perturbé, voire des voitures endommagées.
Et les ouvriers, s'ils sont sur le bateau ils ne sont plus à l'usine... où si ça se trouve il y a encore du travail pour eux.
Il semble donc que ce genre de récit soit assez proche du conte pour endormir les enfants.
Ach, kolossale légende que ces Japonais obligés de travailler jusqu'à la dernière minute dans le souci de ne pas perdre de temps...
Raisonnons 2 secondes : ce qui coûte cher dans le transport maritime, c'est le volume à transporter et la vitesse du bateau. Pour un produit non périssable (dans la limite du raisonnable) comme une voiture, le "temps perdu" sur le bateau ne coûte pas grand-chose, sinon la nécessité de prévoir les approvisionnements avec un délai.
En revanche embarquer des ouvriers pour serrer des boulons coûterait cher : outre qu'on les voit mal travailler sur des voitures serrées comme des sardines, il faut quand même envisager de les nourrir, de les faire dormir (cabines à prévoir), bref de concevoir un bout du bateau qui ressemble à un navire de croisière, même de classe inférieure. Et par grosse mer, risque que le travail soit sérieusement perturbé, voire des voitures endommagées.
Et les ouvriers, s'ils sont sur le bateau ils ne sont plus à l'usine... où si ça se trouve il y a encore du travail pour eux.
Il semble donc que ce genre de récit soit assez proche du conte pour endormir les enfants.