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... depuis 3 à 4 ans j'ai régulièrement le voile du palais inflammé dès qu'il fait un chouia froid. --> rhume, puis toux et bronchite.
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La seule différence que je trouve alors que je viens de rentrer depuis 24h et que le voile du palais me brûle, c'est le diesel.
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Je m'interroge donc fortement sur l'effet diesel sur ma santé. Vraiment.
@ Le fox.
Bien que je ne sache pas où vous habitez exactement.
J'habitait Paris 15ème durant de nombreuses années. J'adorait le 15ème et Paris. Mais comme partout à Paris : certaines rues et axes sont abominables en terme de pollution, surtout causée par les automobiles et camions qui roulent au pas. J'avais de l'asthme à Paris (traitement aérosols), très rarement des rhumes, par contre souvent des infections oculaires à cause des poussières. Je ne prenait plus jamais le métro (trop pollué), mais uniquement le bus pour me déplacer et la voiture le week-end. Les vitres de chez moi étaient noires de crasse assez rapidement après nettoyage et j'était au 4ème étage. Je faisais du sport pratiquement tout les jours, au club de training et environ 4 km de natation par semaine à la piscine Blomet et du tennis le week-end. Jamais de vélo en ville car trop de pollution. A une époque, j'ai eu une moto mais c'était trop dangereux et la crasse noire salit les vêtements même pour un trajet de quelques km.
A Montpellier, pratiquement jamais d'infestions, et pourtant j'habite en ville, et si j'ai une alerte en ayant côtoyer des endroits avec beaucoup de monde, je prends un produits fantastiques qui stoppe bien les infections d'autant que le labo qui les élabore est dans la région. La pollution n'a rien à voir ic avec les grandes villes (Paris, Marseille, Lyon,etc…), sauf, quelques jours chauds sans vent, ou l'hiver sans vent à cause du chauffage et des stupides feux de cheminées ouverts qui empoisonnent toutes les campagnes jusque dans les villes, le pire étant dans les villages où sont localisées ses feux de bois au départ. Faire du sport ici, n'est pas un casse tête comme à Paris (natation, VTT et tennis).
Lorsque je vais à Paris, la situation de la pollution n'a pas changé avec un nombre absurde de motos à la cylindrée inappropriée et accélérations sportives. Je supporte une semaine à 15 jours mais suis bien content de repartir dans le sud. Sacrificiel pour le travail mais tellement meilleur pour la santé.
Le seul endroit où je me suis senti plus mal qu'à Paris, les pires jours de pollution dans la plus mauvaise des circonstances, c'est lors d'une halte en Afrique, dans un important village reculé, qui était un carrefour routier en plus. Des milliers de personnes s'y croisaient en piétinant le sol de terre, plus un trafic soutenu de camions et voitures hors d'âges, le tout formaient un nuage de poussière épais auquel s'ajoutait les fumées d'échappement, et la fumée de bois brulé venant des milliers de braseros utilisés pour faire à manger sur le trottoirs. Au bous de 5 minutes, j'ai commencé à suffoquer et dit au chauffeur de déguerpir au plus vite. Un occidentale a une espérance de vie de quelques minutes dans un tel lieu.
Les remèdes existent : mais il faudrait pouvoir les appliquer.
Ha j'allais oublier. Si. Il y a un truc qui gène énormément en provinces et que je ne ressentais pas à Paris, et ailleurs en voyage. C'est les allergies à certaines plantes et arbres.
Ici, ils ont abusé de certaines essences. Des variétés de platanes qui ont beaucoup de pollens au printemps ont été plantés partout et sont redouter par tout les habitants. Ils font bien marcher les affaires des pharmacies. Au printemps, j'évite les rues où il sont présents en nombre et utilise du Lévophta en période de crise.
Les cyprès sont aussi redoutables. Il y en avait avant sur une place de Montpellier et les gens s'en plaignaient beaucoup auprès de la mairie, mais les gogols n'en avaient cure, jusqu'au jour où quelqu'un a mis le feu à tout les arbres. Les cyprès étaient partie en fumée la nuit. Quelques temps après des gogols étaient sur place pour replanter des …. cyprès.
Le gogol a du mal à comprendre !
Là un voisin a donné le conseil de replanter autre chose, si non cela allait mal se passer à nouveau. Ce qui fut fait.