Ayant travaillé en R&D dans l'automobile (Acesame benchmarking et Faurecia Méru), il semblerait (d'après certains articles de revues spécialisées) qu'un défaut majeur du Filtre A Particules soit littéralement étouffé: Celui de la fragmentation des particules...
En effet d'après analyses de certains scientifiques independants, si le FAP piège les particules (suies) les plus grosses pour les bruler lors du processus de régénération, il brise aussi les particules restantes qui viennent se heurter sur les tranches du nid d'abeille constituant le filtre, processus favorisé par la poussée des gaz d'échappement.
Or, en deçà d'un certain seuil, les particules émises sont tellement petites qu'elle deviennent presque indétectables par les appareils de mesures !
Précisons aussi que plus les particules sont fines, plus elles s'immicsent au fond de nos alvéoles pulmonaires (Cancer Garanti ! )
Voici l'extrait d'un article officiel en lien ci-dessous:
" Il ne faut pas oublier le fait que si ces FAP retiennent une grande proportion de la masse des particules fines (99,9% dans le meilleur des cas), ils filtrent principalement les particules les plus grosses et donc les plus massiques. Les particules les plus fines passent à travers le filtre."
http://controverses.mines-paristech...oupe5/les-filtres-a-particules/h-01/h-03.html
Le diesel n'est pas le seul responsable, car on ne parle jamais des pneumatiques, qui, lors du processus d'usure, libèrent eux-aussi des particules fines (surtout vu le nombre de véhicules en circulation), sans oublier les aéroports qui bordent les grandes villes et capitales (surtout la notre), mais oui, j'oubliais, un avion ne rejette absolument rien à part une poussée phénoménale en sortie de réacteur et donc seulement DU VENT !
Le diesel n'à pas fini de faire parler de lui, mais le moteur essence à injection directe turbo-compressé moderne ne dois pas être si inoffensif que ça, pour l'instant on s'acharne sur le diesel, mais le tour de l'essence viendra et celà au rythme des saisons du lobbying (comme pour le chauffage domestique, où en fonction des nocivités théoriques, on favorise un coup le gaz en en baissant le prix, 5ans après le gaz augmente et les fabuleux poeles à granulés débarquent pour remplacer nos anciennes cheminées à insert, qui d'ailleurs sont pointées du doigt pour leurs émissions de "particules fines" alors que nos grands-parents n'avaient que ce mode de chauffage et mourraient vieux et souvent en bonne santé ! ).
A chacun de se faire son opinion